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Bruxelles n’est pas à l’abri de voir éclore d’autres «p’tits trous»

L’affaissement de la chaussée de Louvain repose la question de la vétusté du sous-sol bruxellois. La capitale paie une fois de plus des années de sous-investissement.

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Journaliste au pôle Planète Temps de lecture: 5 min

Rue Stévin au mois de janvier dernier, rue du Cornet et rue Cardinal Mercier au mois d’août, chaussée de Louvain ce jeudi… La liste des chaussées effondrées dans la capitale en 2017 s’allonge et d’aucuns craignent de voir Bruxelles se transformer en gruyère, à cause d’un réseau de canalisations d’eau et d’égouttage d’un autre âge.

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3 Commentaires

  • Posté par Ioannidou Efthymia, samedi 9 septembre 2017, 0:15

    Combien d'administrateurs politiques chez Vivaqua, des politiciens Bruxellois surpayés qui ne connaissent rien de la distribution de l'eau? Ils sont 10, 20, 40, 60 ou plus? Et la directrice? Sa seule compétence c'est d'avoir une carte PS. Et puis on s'étonne que c'est le bordel complet?

  • Posté par Remi Baeyens, samedi 9 septembre 2017, 12:57

    N'oublions pas que Vivaqua et Hydrobu sont toujours dirigées par le triste sire Yvan Mayeur. Ceci dit, le mal est général: tunnels, infrastructures etc: tout cela dirigés par des gens 'compétents' .

  • Posté par Christian Radoux, vendredi 8 septembre 2017, 22:59

    Pendant des décennies, les outils de gestion du pays ont servi (et servent toujours) de pompe à fric pour des politicien(ne)s déjà grassement payés par ailleurs et ne connaissant rien aux matières concernées, le seul critère étant " il/elle est de chez nous". A côté de cela, le "croc à phynances" d'Ubu, c'est de la poésie. Alors...

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